en l état en l'état BLANCHE-NEIGE ET LE PETIT OISEAU. Abonnement annuel : 12 francs
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Jean Angelini 434-78. L'actualité au cinéma
Blanche-Neige ef les Sept Nains
La page du critique
Blanche-Neige et le petit oiseau
Blanche-Neige chez les
Usines
Nains
L'eau « morte »
Echos
L'aluminium en couleur
incassable _
La laine de lait
Conte scientifique voyage de Gouttelette
te chantaiea dauttissent
Récréations
Pour les plus jeunes
Brizi... Brizette (histoire vécue)L'actualité au cinéma
Blanche-Neige et les
Sept Nains
La page du critique
Blanche-Neige et le petit
Blanche-Neige
oiseau
cher les Nains
Usines
L'eau
Echos
«
morte »
L'aluminium en incassable - La laine de lait
couleur
Conte scientifique
Le voyage de Gouttelette
Le chant bleu du ruisseau
Récréations
Pour les plus jeunes
Brizi... Brizette (histoire vécue)..C'est un film entièrement construit en images animées et colorées, avec chants et danses. De l'avis unanime de nos correspondants et de la crilique, il est difficile de rêver rien de plus frais, de plus charmant, de plus poétique que cette mise à l'écran du vieux conte des frères Grimm, par Walt Disney et ses collaborateurs.
Je suppose que vous connaissez tous la touchante histoire de Blanche-Neige, cette ravissante enfant que déteste la reine, une belle-mère méchante et jalouse ?
« La méchante reine ayant chargé un lieutenant de lou-velerie d'enlever la jeune fille et de la tuer, celui-ci ne pouvant s'y résoudre se contente de l'abandonner dans la forêt.
Elle a bien peur, la nuit, dans la forêt où elle voit, tout autour d'elle, de grands yeux qui la regardent. Bientôt ras-sérénée, elle comprend que ces yeux appartiennent aux gentilles bêtes des bois. Ils la conduisent à la chaumière isolée, gu'habitent les sept nains bienveillants.
1A4nos corresponuanes
rien de plus frais, de plus charmant, de plus poétique que cette mise à l'écran du vieux conte des frères Grimm, par Walt Disney et ses collaborateurs.
Je suppose que vous connaissez tous la touchante histoire de Blanche-Neige, cette ravissante enfant que déteste la reine, une belle-mère méchante et jalouse ?..
« La méchante reine avant chargé un lieutenant de louveterie d'enlever la jeune fille et de la tuer, celui-ci ne pouvant s'y résoudre se contente de l'abandonner dans la forêt.
Elle a bien peur, la nuit, dans la forêt où elle voit, tout aulour d'elle, de grands yeux qui la regardent. Bientôt ras-sérénée, elle comprend que ces yeux appartiennent aux gentilles bêtes des bois. Ils la conduisent à la chaumière isolée, qu'habitent les sept nains bienveillants.
Nous assistons à tous leurs ébats, à leurs travaux. Mais,
grâce au Miroir Magique, la reine s'aperçoit que Blanche Neige est vivante et, déguisée en vieille sorcière, elle lui apporte une pomme empoisonnée. La pomme l'a plongée. Demeurée seule dans la forêt, la pauvre enfant ou
peur
demanda
qu'elle allait
ce
devenir. Elle
de mit à courir et les cail. joux pointus et les épines blessèrent ses petits pieds.
bêtes
sauvages
saient près d'elle, mais e
lui faisaient
aucun
mal.
Blle aperçut à la tombée de la nuit une petite maison où elle entra pour se repo
sel.
Tout était minuscule
dans cette
maisonne
A 18il y et à côté de chacu tes, et à côté de
донов соси то со вско ро віст 80о сва стос сас ано са
personne de son repas.
Historia col dalis carague gobelet ; car ale n voulai Pila
et dans lequel elle s'endormit.
сономо на обло сосона наостаи вервате циі fut а за нене
gans lesue null noire quanins qui, dans l& la main
continent de titrent les font rein leurs chandels ont a
centrent les mines. le allum rent jeet chan de les et , 400,
creusent chair, lis se dirent us vauel dais avait al vend virent dait pas tel qu'ils l'avaient laissé.« Qui a pris de mon pain P »
Le quatrième
« Qui a mangé de mes légumes ? »
Le cinquième :
« Qui s'est servi de ma fourchette ? »
Le sixième
« Qui a coupé avec mon couteau ? »
Le septième
« Qui a bu dans mon gobelet ? »
L'un alla à son lit et dit : « Qui a touché à mon lit ? »
Les autres s'approchèrent et dirent : « On a touché au mien aussi » ; mais le septième en s'approchant du sien vit
Blanche-Neige qui dormait.
Il appela les autres qui accou-
rurent et furent émerveillés.
Ils allèrent chercher leurs
chandelles et éclairèrent Blanche-Neige. Doux Seigneur |
Doux Seigneur ! s'écrièrent-ils, que cette enfant est jolie !
Ils en eurent tant de joie qu'ils ne l'éveillèrent pas et la laissèrent dormir. Le septième nain se reposa tour à tour près de chacun de ses compagnons, et la nuit s'écoula ainsiils en eu ont lant de joie qu'ile ne l'éveillèrent pas et la
Inissèrent dormir
Le septième nain se reposa tour À tour
pres de chacun de ses compagrons, et la nuit s'écoula ainsi.
Le lendemain on s'éveillant, Blanche Neige fut effrayée
en voyant les sept nains. Mais ils lui sourirent avec doueeur et lui demondèrent
Comment t'appelles-tu P
Blanche-Neige, répondit elle.
Comment es-tu venue dans cette maison P deman-
dèrent-ils encore.
Elle leur conta alors que sa marâtre avait voulu la tuer, mais que le chasseur lui avait laissé la vie sauve et qu'elle avait couru jusqu'à ce qu'elle eût trouvé leur maisonnette.
Les nains lui dirent :
Veux-tu te charger des soins de notre intérieur p
faire la cuisine et les menues besognes ? Tu resteras avec nous et nous ne te laisserons manquer de rien.
Oh I oui, dit Blanche-Neige.
Et elle demeura avec eux. Elle vaqua aux soins du ménage. Le matin, les nains s'en allaient creuser les mon-LA COMPAGNIE DES EAUX A CHOISY-LE-ROI
L'eau « morte »émergent de la
selon devahi de corails no valets de bois imergent de la
sont les « pattes d'oies », qui soutiennent les deux énormes conduites d'eau. Elles permettent l'écoulement des cent vingt-cinq mille mètres cubes d'eau de Seine, qui seront purifiés dans l'usine et envoyés ensuite dans toute la banlieue sud et sud-est. Certaines conduites vont même jusqu'à
Levallois et Saint-Denis !...
Plus de 30o ouvriers sont occupés à cet établissement. Jour et nuit, les machines emplissent l'air de bruits assourdis-sants..
Que de travail pour « faire » de l'eau potable ! Dix puissantes machines de 130 chevaux chacune sont actionnées par 21 chaudières. Chaque chaudière « dévore » en moyenne
ALAALAcent vingt-cing mille metres cubes deau de Seine, qui seront purifiés dans l'usine et envoyés ensuite dans toute la banlieue sud et sud-est. Certaines conduites vont même jusqu'à
Levallois et Saint-Denis !..
Plus de 300 ouvriers sont occupés à cet établissement. Jour et nuit, les machines emplissent l'air de bruits assourdis-sants...
Que de travail pour « faire » de l'eau potable ! Dix puissantes machines de 13o chevaux chacune sont actionnées par 21 chaudières. Chaque chaudière « dévore » en moyenne 6 tonnes de charbon en 24 heures. Ces machines à vapeur sont d'immenses pompes aspirantes et foulantes.
L'eau prise aux « pattes-d'oies » passe à travers une « cré pine », sorte de filtre sphérique grossier qui retient les her-
bese, détritus..
. Une deuxième « crépine » plus fine effectue
à l'usine même un autre filtrage. Cette eau aspirée est refoulée dans des tuyaux qui peuvent avoir 1 m. 80 de diamètre.
Elle est ensuite dirigée dans 48 surfaces « préfiltrantes ».
Elle en sort, en cascades, après avoir laissé une partie des matières en suspension qu'elle contenait.VI
Les grandes vacances entraînent voyage : 250 kilomètres,
un long
auxquels s'ajoute une
traversée en mer pour Belle-Ile.
Très confortablement installé dans sa pagode, Brizi semble ravi par ce qu'il voit. En cours de route, on déjeune sur l'herbe; la cage est posée sur un talus, le jeune moineau écoute la rumeur des champs, tire les petites feuilles qui se penchent vers lui et se désaltère à l'eau qu'on va chercher au ruisseau proche.
C'est du camping, et la cage complète assez bien la tonalité
bohème de l'ensemble.
sechangent des saluts avec les passants rien ent.
cui, complète Brizi.Tres confortablement installe dans sa pagode, Brizi semble ravi par ce qu'il voit. En cours de route, on déjeune sur l'herbe ; la cage est posée sur un talus, le jeune moineau écoute la rumeur des champs, tire les petites feuilles qui se penchent vers lui et se désaltère à l'eau qu'on va chercher au ruisseau proche.
C'est du camping, et la cage complète assez bien la tonalité bohème de l'ensemble.
Gaiement,
s'échangent des saluts avec les passants : Cui, cui, cui, complète Brizi.
Quiberon, automobile et cage sont embarquées sur le « Guédel » et bientôt naviguent vers Belle-Ile.
Des marsouins ondulent à la crête des vagues et le beau ciel bleu est sillonné de mouettes. Brizi. LES LECTURES DE LA JEUNESSE
148
Celle eau, un « peu » plus claire. est envoyée dans 50 sur oCellitrantes. C'est la, dans ces bassins qui peuvent avoir faces metres carrés, que l'eau s'écoule lentement, à trayer.
I M.' 3o de hauteur de sable fin. Ce sable est changé et lave tous les six jours, et sur la couche fraîchement étendue yo tous du sulfate d'alumine, qui pendant deux jours donne une teinte verdatre à l'eau fraîche des bassins.
L'eau qui sort de ces 29.000 mètres carrés de surfaces fil trantes est complètement débarrassée des impuretés passe alors dans des « bassins de contact », où elle ; elle « javelisée ». Après cette opération, les microbes sont de truits par le chlore et l'eau est stérilisée. Un dernier tra-vail: « la neutralisation ». On utilise alors un antichlore, L'eau de Seine est devenue, après toutes ces opérations, de l'eau potable, et peut donc être livrée à la consommation.
Un ouvrier goûte l'eau recueillie chaque jour et la porte :
Paris pour l'analyser. En cas d'épidémie, des ordres sont envoyés pour augmenter le degré de « javelisation ». C'est.NOS ECHOS
Et la laine de lait !
Le petit-lait, résidu de la fabrication du beurre et du fromage, a reçu déjà nombre d'utilisations. Une revue italienne annonce qu'on vient de trouver le moyen de le transiormer en une substance qui peut, comme la cellulose, servir de base à la fabrication des étofies. On est arrivé, paraît-il, à en tirer des fibres assez semblables à celles de la laine, qui peuvent être tissées. Un kilogramme de petit. lait fournirait un poids à peu près égal de laine de caseine, laquelle reviendrait trois fois moins cher que la laine animale.
On aurait déià construit en Italie deux usines pour l'utilisation de ce nouveau procédé. La Côte d'Azur : Bandol-sur-Mer (La plage dorée) 1938 La Côte d'Azur : Bandol-sur-Mer (La plage dorée)
« Aie ! quelle chaleur ! » se plaignait Gouttelette.
Wous ne savez pas qui était Gouitelette P C'étail une
petite goutte
d'eau, toute petite, perdue au milieu de la
Le soleil faisait briller Gouttelette comme un œil, et
puis, on aurait dit qu'il voulait la cuire.
'si Gouttelette se laissait descendre vers le fond de la mer. elle étouffait, se sentait serrée, serrée dans l'eau, et puis il y avait de gros poissons qui lui faisaient peur.
Si la pauvre petite essayait de monter au-dessus des vagues, elle sentait bien un peu d'air, mais aie I la brülure du soleil.
Oh ! comme Gouttelette était mal à l'aise !
Et puis, savez-vous, il y avail encore quelque chose qui
1. tourmentait : c'est que, depuis qu'elle daigue ch
#tait devenas touteattelette.
petndo mer boie laine dolcie rous, mes chers petits dmis,
perte goutte d'eau,
rio rorr riien
toute petite, perdue au milieu de la
guns un endroit ou le soleil brûle comme du feu.
Le soleil faisait briller Gouttelette comme un œil, et
puis, on aurait dit qu'il voulait la cuire.
'si Gouttelette se laissait descendre vers le fond de la mer, elle étouffait, se sentait serrée, serrée dans l'eau, et puis il y avait de gros poissons qui lui faisaient peur.
Si la pauvre petite essayait de monter au-dessus des vagues, elle sentait bien un peu d'air, mais aie I la bratise du soleil.
Oh ! comme Gouttelette était mal à l'aise !
Et puis, savez-vous, il y avait encore quelque chose qui In tourmentait c'est que, depuis qu'elle était dans la mer, elle était devenue toute salée. coup d'autres gouttelettes. Enfin, au bout de quelques heu-res. elle crut voir un peu de jour gris. Elle ne s'était pas trompée car toul de suite elle était aveuglée par la lumière qu'elle avait cru ne plus jamais revoir : c'était une source.
Gouttelette oubliait vite les mauvais jours. Toute à sa joie d'avoir retrouvé l'air et le soleil, elle chantait sur les graviers du petit ruisseau. Tout en passant, tout en coulant, elle voyait de belles fleurs qui penchaient leur tête vers elle, des libellules qui la touchaient avec l'aile, un pinson joli, joli, qui buvait. Qu'il faisait bon ! Gouttelette croyait que tout le monde s'était donné rendez-vous pour la voir passer. Elle chatouilla les pieds d'un petit garçon qui se baignait. Un peu plus loin, elle sauta de toute sa force sur un petit moulin desait bien I
buvaient.
rEs pelite voulut aller voir. Ble se sentir suite
Ровансто пі пости ургов поді набо аботи сто ботан роботорій доо
dans l'eau. Elle l'avait échappe belleje
goe polie . "Bile i avait echappe berte ela la halte con e
arusquement son al chaensea. De claire elle devint trou-
belait parce que la reli hiruisseau venait de rejointent.
Doubs qui est une large rivière.
olouttelette n'avait plus sa gentille chanson. Tantöt elle
coulait Ien barreates. Elle venait sautait avec grand tracas elle dessus les barrages Bite venit se coller contre les bars per concontrait des gros poissons et des fafemme emplissant
De
maronne de a-velle
dans leau. Elle Parait échappe belle]s
pas colle : ' lion avale echappe bertesota in petite comate
or laquement sos, il ch serbi. De claire elle devint trou-
Doubs qui est une large rivière.
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oulattelette n'avait anlt el gentille chanson. Tantöt elle
ouait lentement et bile velli sautait avec grand intens elle
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durait bien voulu suivre vEux, ils allaient du beles i elle
alaisait, mais elle elle avait beau se metre en colit eue plait forcée d'aller toujours du même côté, et elle n'authe pas pu dire pourquoi.
*le traversa une ville, passa sous de larges ponts.
Blle eut encore une peur. Comme elle était au bord de la rivière, elle sentit tout d'un coup qu'elle allait plus vide de lis
ine vite.
Blle tomba de plie. Lyon 1938 Lyon: quais de la Saône. tournaient, grondaient et faisaient une écume blanche. Et il
y. avait une grande roue qui tournait en grinçant et qui semblait vouloir manger toute les gouttelettes. Notre petite amie, pourtant, réussit à s'en sauver, passa dans une sorte de chambre toute noire, revint au jour et eut le plaisir de se retrouver dans le Doubs.
Elle continua son voyage et la rivière s'élargit : c'était la
Saône. Un peu après,
Gouttelette n'en vit même plus les
bords : elle était dans le Rhône.
Après beaucoup d'aventures, elle arriva enfin dans la mer Méditerranée.
Et si vous voulez connaître la suite de l'histoire de Goutte-lette, vous n'aurez qu'à reprendre ce récit à la première page. Gouttelette, qui vient des mers y retourne, en sort et y revient, toujours, toujours.1. Devinettes belges
Entre la queue et la tête;
2. L'aveugle;
3. Celle de sa mort :
4. La bouteille qui est déjà pleine (1) ;J'aime mon ami Jacques
Tous les joueurs s'asseyent en cercle ; la personne organisatrice commence, en disant à son voisin de droite
« J'aime mon ami Jacques, avec un J; pourquoi ? » et le voisin doit trouver un qualificatif commencant par un J; il répondra donc, par exemple : « parce qu'il est joyeux ».
Se tournant, alors, à son tour, vers son voisin de droite, il lui dira : « il est né à..
.» le voisin devra trouver immé-
diatement le nom d'une ville commençant par un J; exemple : « Jemmapes » ; puis, celui-ci, se tournant vers le camarade de droite, commencera à son tour une phrase (par exemple) : « il est fabricant de... », et le camarade devra trouver le nom d'une industrie commençant par un J
(eremple)
inhe
charrie
dorrMa
5. Le mois de mai (quand on l'écrit !) puisqu'il n'a que trois lettres. Tous les joueurs s'asseyent en cercle; la personne organisatrice commence;
en disant à son voisin de
droite
« J'aime mon ami Jacques avec un J; pourquoi ? » et le voisin doit trouver un qualificatif commençant par un ; il répondra donc, par exemple : « parce qu'il est joyeux ».
Se tournant, alors, à son tour, vers son voisin de droite, il lui dira : « il est né à..
» le voisin devra trouver immé-
dialement le nom d'une ville commençant par un J; exemple : « Jemmapes » : puis, celui-ci, se tournant vers le camarade de droite commencera à son tour une phrase (par exemple) :« il est fabricant de... », et le camarade devra trouver le nom d'une industrie commencant par un J.
(exemple) : « Jujube ». - Ainsi chacun devra trouver une réponse en J et dire à son voisin de droite, toujours, le début d'une phrase que celui-ci devra terminer par un mot en J.
Ainsi se fera le tour du cercle.
Ces phrases et les réponses peuvent varier à l'infini ; je vais vous en donner quelques modèles
Il adore jouer à.
Réponse : Jongler.
- Il possède un ravissant.
Réponse : Jardin.
Il a fait dernièrement un beau voyage...rade de croile.
commencera
sOn
OLLE
exemple)
: « il est fabricant de..
•», et le camarade devra
trouver le nom d'une industrie commençant par un J... (exemple) : « Jujube ». - Ainsi chacun devra trouver une reponse en J et dire à son voisin de droite, toujours, le début d'une phrase que celui-ci devra terminer par un mot en J Ainsi se fera le tour du cercle.
Ces phrases el les réponses peuvent varier à l'infini : je vais vous en donner quelques modèles
- Il adore jouer à.
Réponse : Jongler.
Il possède un ravissant.
Réponse : Jardin.
Il a fait dernièrement un beau voyage..
Réponse : Au Japon.
Son père lui a fait cadeau d'une..
Réponse : Jument.
Etc., etc.
Il faut que toutes ces phrases et réponses se succèdent avec rapidité; quand le joueur ne trouve pas assez vite son mot, il doit donner un gage.
Après un tour avec le J, on fait d'autres tours, avec d'au-imprimerie F. Robert et Fils - 24, rue Moustiere
Marseille - Le Gérant : F. BERNARD
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