NEGOCE FINANCE BANQUE
ISAAC THURET BANQUE PLACE VENDOME
aujourd’hui Chaumet du Groupe LVMH
VOIR HISTORIQUE CI APRES EN FIN DE DESCRIPTION
DESCRITION
ANNEE 1829
FORMAT A4
FEUILLE DOUBLE
LETTRE COMPLETE ET SIGNEE
MARQUE POSTALE BAR LE DUC
ET CACHETS A DATE
+ TAXATION MANUSCRITE
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
TEXTE INTERESSANT
CONCERNANT LE BANQUE THURET à PARIS
EVOQUE "LINNEVIELLE" UN DE SES ASSOCIES
VOIR HISTORIQUE CI APRES
SUR JACQUEMINOT AUBERT
VOIR HISTORIQUE CI APRES
VOIR SCANS / TEXTE
VOIR HISTORIQUE
1/ HISTORIQUE SUR THURET
SOURCES
RECHRCHES ANMT CULTURE GOUV FR
EXTRAIT
Présentation du producteur :
Peut-être d'origine française, Isaac Thuret était le chef d'une maison de commerce d'Amsterdam. En 1810, il vint s'établir à Paris et s'associa à Jacques Lefebvre, l'un des banquiers importants de la capitale. Cette association fut rompue en 1815, date à laquelle Thuret fonda une maison sous son nom. En même temps il créait une maison au Havre, sous la même raison sociale.
Entre 1815 et 1830, la maison Thuret et Cie participa à toutes les grandes opérations financières. Elle s'intéressa en outre à l'usine métallurgique de Pont-sur-l'Ognon où Fourneyron mit au point sa turbine, et à la manufacture d'Ourscamp.
En 1828, Thuret céda ses affaires à deux de ses employés, Linneville et Lelièvre. Il fut très frappé, en 1830, par la faillite d'un de ses correspondants, Demianny, important banquier de Rouen, et passa le reste de ses jours dans d'interminables procès.
VOIR AUSSI PLACE VENDOME
ISAAC THURET
HISTOIRE EUROPE FR
..
Isaac Thuret achète son hôtel 12, Place Vendôme qui devient à la fois son domicile, le siège de sa banque et le Consulat Général de Hollande à Paris.
HOTEL BAUDARD DE ST JAMES
WIKIPEDIA
L'hôtel Baudard de Saint-James (prononcé [ʒam] et non [dʒɛms]) est un ancien hôtel particulier situé au no 12, place Vendôme dans le 1 arrondissement de Paris. ... L'hôtel devient à la fois le siège de la banque Thuret & Co, celui du ...
LA MAISON CHAUMET PARIS L HOTEL BAUDARD DE ST JAME
PARIS PROMENEURS PATIMOINE ANCIEN
A partir de 1814, l'hôtel est habité par Isaac Thuret et devient le siège de la banque Thuret. En 1848, l'hôtel devient le siège de l'ambassade de Russie.
2/ HISTORIQUE SUR JACQUEMINOT AUBERT Bar le Duc
SOURCES
JOURNALS OPENEDITION ORG LSACE
EXTRAIT
En mars 1824 au plus tard, elle est propriété de Frédéric Joseph Solms (« fabricant d’Obernai pour le tissage de toiles de coton15 »). Des métiers sont installés sur le site même, comme en atteste en novembre 1824, le signalement du vol « sur un métier à percale [d’] une navette à tisser »16. Solms cède sa fabrique, avant le 1er mars 182517, à la société barisienne Jacqueminot, Aubert et Compagnie18, pour la somme de 25 000 francs. À cette date, ces derniers concluent avec Solms une association pour le tissage de toiles de coton, dont le siège est établi à Obernai, dans la « caserne de cavalerie », et dont Solms devient le directeur. Mais ce dernier se retire finalement de l’affaire dès le 8 mai suivant, estimant que « les obligations qui lui sont faites par Jacqueminot, Aubert et Cie sont trop lourdes, et qu’il peut plus utilement mettre en œuvre son industrie d’une autre manière19 ». La direction de « la fabrique de percale » est alors confiée à M. Reisert20
A partir de 1814, l'hôtel est habité par Isaac Thuret et devient le siège de la banque Thuret. En 1848, l'hôtel devient le siège de l'ambassade de Russie.
2/ HISTORIQUE SUR JACQUEMINOT AUBERT Bar le Duc
SOURCES
https://journals.openedition.org/alsace/5065
EXTRAIT
En mars 1824 au plus tard, elle est propriété de Frédéric Joseph Solms (« fabricant d’Obernai pour le tissage de toiles de coton15 »). Des métiers sont installés sur le site même, comme en atteste en novembre 1824, le signalement du vol « sur un métier à percale [d’] une navette à tisser »16. Solms cède sa fabrique, avant le 1er mars 182517, à la société barisienne Jacqueminot, Aubert et Compagnie18, pour la somme de 25 000 francs. À cette date, ces derniers concluent avec Solms une association pour le tissage de toiles de coton, dont le siège est établi à Obernai, dans la « caserne de cavalerie », et dont Solms devient le directeur. Mais ce dernier se retire finalement de l’affaire dès le 8 mai suivant, estimant que « les obligations qui lui sont faites par Jacqueminot, Aubert et Cie sont trop lourdes, et qu’il peut plus utilement mettre en œuvre son industrie d’une autre manière19 ». La direction de « la fabrique de percale » est alors confiée à M. Reisert20
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